WEEKLY NEWS FLASH #46

Le Weekly News Flash est de retour ! Chaque lundi, nous vous résumons l’actualité de la semaine écoulée. C’est parti !

LA RENCONTRE DE LA SEMAINE

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On ne s’y attendait pas forcément mais cela s’est produit. Donald Trump s’est rendu au Mexique pour y rencontrer le président mexicain Enrique Peña Nieto. Les deux hommes se sont retrouvés au palais présidentiel de Mexico. Ils ont discuté en privé pendant une heure avant de donner une brève conférence de presse commune. Un journaliste a alors demandé à Donald Trump s’ils avaient évoqué la question du mur et de son financement lors de leur entrevue. (Rappel: Depuis le début de sa campagne, Trump promet qu’il fera construire un mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique et qu’il en fera payer la construction à l’état mexicain). Trump a répondu qu’ils avaient évoqué la construction du mur mais pas la question de son financement ! Sur le moment, Peña Nieto n’a pas réagi pour le contredire. Mais quelques heures plus tard, le président mexicain assurait qu’il avait bien fait savoir à Donald Trump qu’il était hors de question que le Mexique paye pour la construction du mur.

Traduction: Au début de la conversation avec Donald Trump, je lui ai dit clairement que le Mexique ne payerait pas pour le mur.
Traduction: Au début de la conversation avec Donald Trump, je lui ai dit clairement que le Mexique ne payerait pas pour le mur.

La question du financement de la construction du mur a-t-elle été évoquée? Impossible de savoir qui de Trump ou de Peña Nieto dit la vérité. En tout cas, lors d’un discours prononcé quelques heures plus tard, Trump a de nouveau affirmé que le Mexique payerait pour le mur (plus d’informations sur ce discours dans quelques instants).

Enrique Peña Nieto a été très critiqué dans son pays – où il ne dispose plus que de 23% d’opinions favorables selon un récent sondage – pour avoir invité Donald Trump tel un véritable chef d’état. Le président mexicain s’est justifié en disant qu’il avait invité les deux principaux candidats à la présidence américaine, Donald Trump et Hillary Clinton, à le rencontrer. Hillary Clinton n’a pas encore répondu à son invitation. Selon Peña Nieto, le Mexique devra respecter le choix des électeurs américains. Il estimait donc utile de rencontrer ses deux potentiels futurs homologues et d’avoir une franche discussion avec eux. En recevant ainsi Trump, le président mexicain lui a en tout cas peut-être rendu un immense service. Le candidat républicain pourra désormais affirmer qu’il est pris au sérieux à l’étranger.

LE DISCOURS DE LA SEMAINE

Quelques heures seulement après sa visite au Mexique, Donald Trump prononçait un discours à Phoenix, en Arizona. Ce discours portait sur sa politique d’immigration, ou plus précisément sur son « plan pour lutter contre l’immigration illégale ». Donald Trump a commencé par affirmer que la mise en place de ce plan permettrait de mettre fin aux trafics qui ont lieu autour de la frontière (drogue, armes etc.) et qu’il serait donc également bénéfique pour le Mexique. D’ailleurs, avant que Trump ne s’exprime, la salle avait été chauffée par Rudy Giuliani, ex-maire de New York, et le sénateur Jeff Sessions, qui portaient tous deux pour l’occasion une casquette portant le slogan MAKE MEXICO GREAT AGAIN ALSO. Non, ce n’est pas une blague.

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Revenons-en au discours de Trump. D’après lui, l’immigration illégale nuit à la qualité de vie des américains. Tout d’abord, parce que l’immense majorité des immigrants illégaux sont des travailleurs non qualifiés qui acceptent des salaires inférieurs à ceux des américains. Résultat? Les employeurs recrutent des illégaux et de nombreux américains peu qualifiés se retrouvent au chômage. D’autre part, la criminalité augmenterait également avec l’arrivée des immigrants illégaux. Pour appuyer son propos, Trump a évoqué les histoires de plusieurs américains assassinés par des immigrants illégaux ayant déjà un casier judiciaire avant les faits ou ayant été plusieurs fois expulsés des Etats-Unis avant de revenir encore et encore. Des histoires souvent atroces et évidemment révoltantes. Par exemple, celle de cette dame de 64 ans, violée puis assassinée à coups de marteau par un immigrant illégal déjà condamné à plusieurs reprises par la justice auparavant. Mais ce que Trump ne dit pas, c’est que beaucoup plus d’homicides sont commis par des américains que par des immigrants illégaux aux Etats-Unis. Autrement dit, s’il est vrai que certains meurtres ne se seraient pas produits si leurs auteurs ne s’étaient pas trouvés illégalement sur le territoire, il est illusoire de penser que la fin de l’immigration illégale résoudra totalement le problème de la criminalité dans le pays.

Donald Trump a ensuite présenté un plan en dix points.

1. Construire le mur à la frontière et en faire payer la construction au gouvernement mexicain. Trump a clairement réaffirmé que le Mexique devrait payer la construction de son mur.

They don’t know it yet, but they’re going to pay for it. (Ils ne le savent pas encore, mais ils le payeront)

Il a aussi affirmé que son mur serait équipé de capteurs sensoriels et de tours de contrôle. Une surveillance aérienne sera également assurée.

2. Mettre fin à la politique du catch and release, consistant à laisser libre les personnes en situation irrégulière interpellées, en attendant leur passage devant un juge qui leur signifiera ou non leur expulsion. Cette politique avait été mise en place parce qu’il était très coûteux pour l’état américain de maintenir en détention tous les immigrants illégaux interpellés en attendant qu’ils passent devant le juge. Problème? Ils étaient évidemment très nombreux à ne jamais se présenter à leur audience et à disparaître dans la nature. C’est pourquoi George W. Bush a mis fin à la politique du catch and release au cours de son mandat. Contrairement à ce que prétend Trump, cette politique n’est donc déjà plus d’application depuis un bon moment. Mais il est vrai que sous l’administration de Barack Obama, les illégaux interpellés et non considérés comme dangereux ne sont à nouveau plus systématiquement détenus. Donald Trump a promis que s’il était élu,

Anyone who illegally crosses the border will be detained until they are removed out of our country and back to the country from which they came. (Toute personne traversant illégalement la frontière sera détenue jusqu’à ce qu’elle soit expulsée de notre pays et renvoyée dans son pays d’origine)

3. Expulser immédiatement toutes les personnes en situation irrégulière ayant un casier judiciaire. Autrement dit, tous les illégaux connus des services de police seront expulsés dès les premiers jours de la présidence Trump.

4. Ne plus accorder aucun financement fédéral aux sanctuary cities, ces villes qui ont pour politique de ne pas dénoncer les immigrants illégaux aux autorités fédérales.

5. Appliquer strictement toutes les lois du pays en matière d’immigration, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Cela signifie que toute personne en situation irrégulière est menacée d’expulsion.

Anyone who has entered the United States illegally is subject to deportation. (Toute personne entrée illégalement aux Etats-Unis est susceptible d’être expulsée)

6. Ne plus délivrer aucun visa aux ressortissants de certains pays. Il s’agira de pays où le terrorisme islamique est particulièrement bien implanté et dont certains ressortissants pourraient donc avoir pour projet de se rendre aux Etats-Unis pour y commettre un attentat. (NB: Donald Trump ne fait donc plus mention d’une interdiction d’accès au territoire pour les musulmans mais pour tous les ressortissants de certains pays). Quels seront les pays concernés? On l’ignore encore car le président Trump demandera au Département de la Sécurité Intérieure (Homeland Security) et au Département de la Justice d’en établir la liste. Le candidat républicain a toutefois d’ores et déjà indiqué que la Syrie ferait partie de cette liste. Par conséquent, les Etats-Unis n’accueilleront plus aucun réfugié syrien. De plus, tous les candidats à l’immigration aux Etats-Unis, quel que soit leur pays d’origine, devront passer un « test idéologique » avant d’être admis sur le territoire. Ce test aura pour but de vérifier qu’ils partagent bien les valeurs du pays. Si ce n’est pas le cas, ils seront refoulés. Pour démontrer la nécessité de la mise en place d’un tel test, Donald Trump a expliqué que de nombreux irakiens et afghans avaient été admis aux Etats-Unis ces dernières années. Or, un sondage a démontré qu’une majorité des irakiens et des afghans estiment que les crimes d’honneur contre les femmes sont une pratique justifiée*. D’après lui, il n’est pas normal d’accepter aux Etats-Unis des personnes ayant une telle opinion puisque celle-ci va à l’encontre des valeurs américaines.

*Le sondage auquel Trump fait référence existe bien. Il a été réalisé par le très sérieux Pew Research Center. D’après ce sondage, 22% des irakiens et 24% des afghans seulement estiment que les crimes d’honneur contre les femmes ne sont JAMAIS justifiables.

7. S’assurer que les pays d’origine des immigrants illégaux les reprennent bien en charge après leur expulsion. En effet, 23 pays refusent actuellement que leurs ressortissants interpellés pour séjour illégal aux Etats-Unis soient rapatriés. Mais Trump n’explique pas comment il va convaincre ces pays de changer leur politique.

8. Mise en place d’un nouveau système de visas biométriques contrôlés à l’entrée et à la sortie du territoire. Une personne devra désormais présenter son visa lorsqu’elle entre sur le territoire américain mais également lorsqu’elle le quitte (ce qui n’est actuellement pas le cas). Cette mesure était préconisée par d’autres candidats républicains durant les primaires, notamment Marco Rubio. En effet, on estime qu’environ la moitié des personnes en situation irrégulière aux Etats-Unis y sont entrées légalement à l’aide d’un visa temporaire. Elles n’ont tout simplement pas quitté le territoire à la date d’expiration de leur visa. Grâce à ce nouveau système de visas biométriques contrôlés à l’entrée et à la sortie du territoire, on pourra identifier plus facilement les personnes étant entrées aux Etats-Unis avec un visa temporaire et n’étant pas reparties à temps.

9. Amélioration de la base de données E-Verify et obligation légale pour les employeurs de la consulter avant d’embaucher quelqu’un. Cette base de données permet à l’employeur de vérifier que la personne qu’il embauche est bien en règle.

10. Enfin, Donald Trump propose également de réformer le système d’immigration LÉGALE. Les Etats-Unis sélectionneraient les candidats à l’immigration légale de manière stricte, en fonction de leurs capacités professionnelles et de ce qu’ils peuvent apporter au pays. Une sorte d’immigration choisie.

LA PHRASE DE LA SEMAINE

You’re gonna have taco trucks on every corner. (Vous aurez des camions vendant des tacos à chaque coin de rue)

C’est ce qu’a déclaré Marco Gutierrez, fondateur du groupe Latinos for Trump. Il voulait mettre en garde contre l’immigration illégale en provenance du Mexique. D’après lui, si on ne fait rien pour y mettre un frein, la culture mexicaine finira par s’imposer et on verra fleurir des camions vendant des tacos à chaque coin de rue. Cette déclaration a fait l’objet de nombreuses moqueries, notamment sur les réseaux sociaux. Beaucoup d’internautes américains ont fait remarquer que la grande majorité de la population adore les tacos et accueillerait donc plutôt la prolifération de leurs points de vente comme une bonne nouvelle. Le Parti Démocrate du Colorado a aussi profité de ce buzz pour lancer une opération séduction. Il a fait installer un camion vendant des tacos sur le parking situé juste en face des bureaux de la campagne de Donald Trump à Denver. Dans ce camion, les clients peuvent également s’inscrire sur les listes électorales. Enfin, le candidat indépendant à la présidence Evan McMullin s’est également moqué de la déclaration de Gutierrez sur son compte Twitter.

Traduction: Les vendeurs de tacos comme celui-ci à la foire du Minnesota sont des entrepreneurs qui contribuent à l'économie américaine.
Traduction: Les vendeurs de tacos comme celui-ci à la foire du Minnesota sont des entrepreneurs qui contribuent à l’économie américaine.

LES DOCUMENTS DE LA SEMAINE

Le FBI a publié cette semaine de nouveaux documents relatifs à l’affaire des e-mails d’Hillary Clinton. Il s’agit d’un rapport de 47 pages présentant les conclusions de son enquête, ainsi que d’une retranscription de l’interrogatoire de la candidate démocrate dans le cadre de cette enquête. Pas de nouvelles révélations importantes dans ces documents puisque le directeur du FBI avait déjà présenté précédemment les conclusions de l’enquête de son agence lors d’une conférence de presse. Nous vous en avions longuement parlé. Si le FBI a rendu ces nouveaux documents accessibles au public, c’est uniquement dans un souci de transparence. Un élément a tout de même particulièrement retenu notre attention. Hillary Clinton a déclaré au FBI qu’elle ignorait que la mention (C) présente dans certains e-mails signifiait que ceux-ci contenaient des informations classifiées. Une Secrétaire d’Etat pouvait-elle vraiment ignorer une telle chose? Soyons clairs. Si c’est le cas (et cela nous paraît peu vraisemblable), cela relève de l’incompétence totale. Si ce n’est pas le cas, Hillary Clinton a menti au FBI.

À VOS AGENDAS !

On attendait avec impatience que la commission qui s’occupe de l’organisation des débats présidentiels annonce les noms des journalistes choisis pour modérer ces débats. L’institut de sondage Morning Consult avait même réalisé une enquête pour savoir quels étaient les favoris des américains. Voici les cinq noms qui ont été le plus souvent cités.

Source: Morning Consult
Source: Morning Consult

La commission a en partie exaucé les vœux des américains puisqu’elle a sélectionné Anderson Cooper et Chris Wallace. Le premier co-animera le second débat avec Martha Raddatz. Chris Wallace animera quant à lui le troisième et dernier débat. C’est la toute première fois qu’un journaliste de Fox News est choisi pour modérer un débat présidentiel.

Voici le calendrier complet des débats. À vos agendas !

26 septembre. Débat présidentiel n°1. Modérateur: Lester Holt (NBC). Lieu: Hofstra University, Hempstead, New York.

4 octobre. Débat entre candidats à la vice-présidence. Modératrice: Elaine Quijano (CBS). Lieu: Longwood University, Farmville, Virginie.

9 octobre. Débat présidentiel n°2. Modérateurs: Anderson Cooper (CNN) & Martha Raddatz (ABC). Lieu: Washington University, St Louis, Missouri.

19 octobre. Débat présidentiel n°3. Modérateur: Chris Wallace (Fox News). Lieu: University of Nevada, Las Vegas, Nevada.

Tous les débats auront lieu de 21h00 à 22h30, heure de New York (de 3h00 à 4h30 du matin heure de Paris), et sans aucune interruption publicitaire. Le second débat aura un format différent des autres puisqu’une partie des questions sera directement posée aux candidats par des citoyens. Les débats opposeront en principe Donald Trump à Hillary Clinton. Pour être admis à ces débats, les autres candidats à la présidence (Gary Johnson, Jill Stein ou Evan McMullin) devraient être crédités de plus de 15% des intentions de vote dans les sondages. Ce n’est pas le cas pour le moment.

LES VAINQUEURS DE LA SEMAINE

John McCain, Marco Rubio et Debbie Wasserman Schultz ont remporté leurs primaires respectives en Arizona et en Floride.

Marco Rubio s’est imposé en remportant 72% des voix. Ce fut un peu plus difficile pour John McCain (51,7%). Rubio et McCain ont donc tous deux gagné le droit de se présenter à leur propre réélection au Sénat au mois de novembre. Quant à Debbie Wasserman Schultz, ancienne patronne du Parti Démocrate, elle a remporté la primaire qui l’opposait à Tim Canova, un candidat soutenu par Bernie Sanders. Elle a remporté 57% des voix, contre 43% pour Canova. Elle sera candidate à sa propre réélection en novembre, à la Chambre des Représentants.

LA PHOTO DE LA SEMAINE

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Voici une photo de Barack Obama en visite sur l’atoll de Midway, en plein Océan Pacifique. Midway est une île située à un peu plus de 2,000 kilomètres de Honolulu, la capitale d’Hawaii. Cette île est connue pour avoir été le théâtre d’une bataille navale remportée par les Américains face aux Japonais en 1942. Aujourd’hui, elle compte seulement 50 habitants. Elle abrite un écosystème unique et est située au cœur de la réserve marine de Papahānaumokuākea dont le président a récemment quadruplé la superficie.

Source: CNN
Source: CNN

Si Barack Obama avait décidé de se rendre sur cette île isolée, c’est avant tout pour alerter une fois de plus ses compatriotes sur la nécessité de préserver l’environnement.

Insolite: Alors que le président se trouvait à Midway, le National Geographic a révélé que des scientifiques avaient décidé de donner son nom à une nouvelle espèce de poisson récemment découverte dans la réserve. Voici une photo de ce poisson nommé Obama.

Photo: National Geographic
Photo: National Geographic

Après sa visite à Midway, Barack Obama a pris la direction de la Chine où il participe actuellement au sommet du G20. Il se rendra ensuite au Laos, un pays où aucun président américain ne s’était encore rendu jusqu’ici.

LA STATISTIQUE DE LA SEMAINE

Barack Obama a accordé beaucoup plus de remises de peine à des détenus que ses prédécesseurs. Davantage que ses dix prédécesseurs réunis !

Source: Independent Journal
Source: Independent Journal

Les personnes auxquelles le président a ainsi accordé des remises de peine sont essentiellement des personnes ayant été condamnées à de lourdes peines pour consommation et trafic de drogue et auxquelles il dit vouloir donner une seconde chance.

LE CHIFFRE DE LA SEMAINE

90. C’est le nombre de personnes tuées par balle à Chicago au mois d’août. Le mois le plus meurtrier dans la ville depuis vingt ans. Si la presse s’est penchée sur cette nouvelle vague de violence qui touche Chicago, c’est aussi parce que l’une des 90 victimes n’est autre que la cousine de Dwyane Wade, célèbre joueur de NBA. Elle a été victime d’une balle perdue alors qu’elle se promenait en compagnie de son bébé, qui se trouvait dans sa poussette.

Traduction: Ma cousine a été tuée aujourd'hui à Chicago. Un autre acte de violence absurde. 4 enfants ont perdu leur maman SANS RAISON. Incroyable.
Traduction: Ma cousine a été tuée aujourd’hui à Chicago. Un autre acte de violence absurde. 4 enfants ont perdu leur maman SANS RAISON. Incroyable.

LE VOL DE LA SEMAINE

Cette semaine, la compagnie aérienne JetBlue a effectué le premier vol commercial reliant les Etats-Unis à Cuba depuis plus de cinquante ans. L’avion a décollé de Fort Lauderdale, en Floride, et a atterri à Santa Clara, Cuba. Ce vol est la preuve que le rapprochement entre les deux pays suit son cours. Le Département des Transports américain a annoncé qu’à partir de cet automne, huit compagnies aériennes américaines effectueraient des liaisons régulières entre les Etats-Unis et la capitale cubaine, La Havane. Les villes américaines desservies seront les suivantes: Atlanta, New York, Los Angeles, Houston, Miami, Fort Lauderdale, Orlando, Tampa, Newark et Charlotte. Notons qu’il est toutefois toujours interdit aux américains de se rendre à Cuba pour des raisons purement touristiques. Douze motifs de voyage sont désormais acceptés, dont les missions éducatives, religieuses ou humanitaires.

L’INFO INSOLITE DE LA SEMAINE

Rick Perry, ex-gouverneur du Texas, va participer à la nouvelle saison de l’émission Dancing With The Stars. Le concept de l’émission est simple. Des célébrités forment un couple avec un danseur professionnel du sexe opposé. Les performances des différents couples sont évaluées chaque semaine par un jury. Voici une photo de Rick Perry en compagnie de sa partenaire (publiée par l’intéressé sur son compte Twitter).

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L’émission débutera le 12 septembre. On a hâte de voir ça !

 

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